La série « Regarder, contempler, méditer », du photographe Joffrey Persia, fait écho à un besoin contemporain souvent pressant : celui d’une rupture hors du temps pour se recentrer et être en symbiose avec l’environnement. À 26 ans, il se consacre maintenant complètement à son art. Une activité presque « introspective » pour lui, « mais aussi de découverte de l’autre par l’aventure, l’humain et le partage d’expériences », confie-t-il. Dans cette série, Joffrey met en avant la beauté par la simplicité de certains paysages ou scènes de vie.
Pour lui : « Il y a vraiment un lien étroit entre élégance, simplicité et symétrie. C’est ce qui me fait ressentir qu’une scène est belle ». Le voyage représente pour le photographe une grande source d’inspiration : « J’ai besoin de bouger, et de changer d’environnement pour ressentir l’envie de prendre des photos. Elles sont le témoignage de mon émerveillement. Dans cette série, il y a aussi une symbiose entre effort et relâchement », conclue-t-il